C'est le petit Chaperon Rouge qui doit porter ses courses à sa grand-mère. Sa mère la met en garde : ne passe pas par la forêt, il parait qu'il y a un pervers qui s'y cache, fait te détour par le village.
Évidemment le petit Chaperon Rouge n'écoute rien et s'engage dans le bois. Au bout d'un moment elle entend des pas derrière elle et un type l'attrape.
- tu sais qui je suis ?
- oui vous êtes le violeur qui se cache dans la forêt, ma mère m'avait prévenue et dit de faire le tour
-alors tu sais ce qui va t'arriver ...
...
Alors qu'il commence à se rhabiller le salaud demande :
- et qu'est que tu diras ?
- je dirai que j'ai désobéi et que je suis passée par le bois et que vous m'avez attrapée et violée deux fois
- oh oh tu n'es pas obligée d'en rajouter !
- ben quoi, vous n'avez pas encore un petit quart d'heure ?
Un gars, qui par trop se faisait chier un soir de pleine lune, se pointe donc en boîte.
Il entre, et se dirige vers le bar. La boîte est d'un sombre pas commun, et le bar est d'ailleurs le seul endroit quelque peu éclairé. Faiblarde, la lumière, tout de même.
Le bar forme un grand "U". Il se met d'un côté du "U", et commande une bouteille de champ', et deux coupettes (sait-on jamais). On le sert, il règle, et ceci fait, son radar de mâle s'autoactive (un peu à la façon de l'oeil de Steve Austin).
De l'autre côté du bar, il apperçoit une gonzesse Majuscule, mais alors, d'une beauté à faire se damner un saint. Une Bombe ! Atomique ! Qui, de surcroit, lui sourit grave.
Alors, il se démonte pas, le mec, et il s'approche du morceau, champ' et tout à la main, s'arrête juste avant l'angle du comptoir, lui fait la proposition d'une coupette, qu'elle accepte bien volontiers, et nous les v'là partis en discutaille.
"Bla, bla, blah,...et bla, bla,.. mhlè, bli, nan, vi, hi hi,..." et tout le tintouin. Ca tchatche encore ferme lorsque la musique s'arrête, et que la lumière remonte un peu.
Ils venaient juste de se dire:
Lui
- "On s'entend bien, hein ?"
Elle
- "Oh, voui !"
Lui
- "Et si on se finissait la soirée tous les deux, ailleurs, tranquille ... ?"
Elle
- "Oh voui, oh voui !" (en tapant dans les mains [contente, la petite...] )
Et donc, le Night Clube se prépare à fermer, ils ont prévu de faire nuit blanche ensemble, et la lumière remonte. Et cette petite, elle est Belle, mais Belle, elle a tout: un visage d'ange, des yeux grands et expressifs, des cheuveux magnifiques, une bouche adorable, des seins opulents, bref, le Top. Elle a tout, cette petite, sauf des jambes: elle est cul-de-jatte.
Alors, lui, il fait grise mine un instant, et elle:
- "T'es déçu, hein", pressent-elle brusquement.
Lui
- "Heu..., non,... Nonon... C'est sûr, ça fait une surprise tout de même, mais, tout bien considéré, on s'entend bien je trouve, et, allez, on va pas changer nos plans pour si peu. Let's! "
Il lui tend ses bras, les lui passe sous les aisselles, la soulève, et l'emmène à sa voiture.
L'ayant installée confortablement, il rejoint le poste de conduite, s'attache lui aussi, et démarre. Ils empruntent de jolis petits chemins, tout en baragouinant encore, pendant quelques kilomètres. A l'orée d'un bois, elle tire violemment le frein à main, et lui crie:
- "Ici... Maintenant... Prends-moi !!"
Lui sort alors de sa caisse, attend qu'elle suive, et :
- "Ah! Merde! C'est vrai..."
Il la ressoulève par dessous les aisselles, et, lucide, lui demande:
- "Dis, chérie, comment on fait avec toi ?"
Et d'un grand et merveilleux sourire, elle répond :
- "J'ai beau être blonde, j'ai pourtant la solution. Il faut que je t'avoue que le choix de cet endroit n'est pas totalement innocent : Qui dit "orée du bois" dit "arbres". Qui dit '"arbres" dit "branches". Et qui dit "branche" dit "pas trop haute", comme ça, je m'y suspend, et pis violà, le reste, t'es un grand et BEAU garçon, j'te fais confiance."
Ils se lancent donc à la recherche d'une branche comme il faut:
Lui
- "Celle-là ?"
Elle:
- "Non, plus bas!"
- "Celle-là ?..."
- "Nan, plus haut !"
- "Et là ?"
- "Bien, parfait !"
Elle se suspend (du coup, elle va pas pouvoir être très active).Et lui l'entreprend avec des préliminaires mouillés du bout des lèvres, carressés précieusement, et tout le monde s'énerve joyeusement. D'on coup, il lui arrache sa robe, puis sa petite culotte, se fout à poil, et commence son affaire, presta. Presta, presta, façon de parler, parce que ça dure bien 3/4 d'heure, leur petit jeu du bouchon qui bouge, lui astiquant frénétiquement, profitant de toute embouchure, et elle prêtant volontiers son concours généreux (mais alors, c'est plus des bras qu'elle doit avoir).
Ca se termine, il se remballe, la rhabille (par en dessous...), la décroche, l'ammène à la voiture, la réinstalle confortablement, retourne se poser le cul dans le siège du conducteur, remet lui aussi sa ceinture, démarre, et roule.
Fenêtre grande ouverte, il se marre, se passe la main dans les cheveux, est content de lui:
- "Alors ma Puce, c'était bien hein?"
Et elle, en pleurs:
- "C'était MAAA-GNIIII-FIII-QUE! sniff! bouhouhou...!"
- "M'enfin, pourquoi tu pleures, qu'est-ce qu'il y a ?!!"
- "Rien! WAAAAAAh! sniff! c'était magique! je t'assure! blub! bouhouhouhou...!"
- "Ah, dis, tu vas pas commencer, hé, alors, tu me dis, ou quoi ?"
- "Ben voilà: c'est la première fois qu'on me décroche aprèèèèèèèèèèèès !!!!!"
Une mémé rentre chez elle, le soir.
Arrivée dans une petite rue sombre, 2 mecs se jettent sur elle.
Le premier lui arrache son sac,
le second lui arrache sa petite culotte et commence à la violer.
Le premier dit d' un coup :
- Laisse tomber, elle a pas de fric sur elle !
La vieille dit :
Yves a 90 ans. Il a joué au golf tous les jours depuis sa retraite il y a 25 ans.
Un jour, il rentre chez lui complètement découragé :
– "C’est fini", dit-il à sa femme. "J’abandonne le golf : ma vue est devenue trop mauvaise… après que j’ai frappé la balle, je ne peux pas voir où elle va..."
Pour le rassurer sa femme lui dit :
– "Pourquoi n’amènes-tu pas mon frère avec toi au golf et essaie une dernière fois."
– "Ton frère a 103 ans !", répond Yves. Il ne peut pas m’aider."
– "Il a peut-être 103 ans" , dit sa femme, "mais il a une vision parfaite !"
Alors, le lendemain, Yves se rend au terrain de golf avec son beau-frère.
Il place sa balle sur le tee, s’élance, frappe, puis cherche la balle au loin.
Il se tourne vers son beau-frère :
– "As-tu vu où est allée ma balle ?"
– "Bien sûr que je l’ai vue. Ma vision est parfaite...!
– "Excellent ! Où est-elle ?"
– "M’en rappelle plus..." _________________ le bonheur c 'est simple comme .... une 2 cv
2 cv 4 1972 , mais si spéciale AZ 1958 pour madame et une mini austin pour faire so-britich
Pierre va faire une partie de golf avec son copain
premier trou: Pierre le fait en 4 . joli dit son pote qui se prépare à jouer.
Il place sa balle sur le tee .
prend une grande respiration et balance son club !
la balle monte , monte puis retombe dans une marre !
une grenouille arrive et gobe la balle tout en sautant hors de l'eau.
passe une cigogne qui voit la grenouille , pique sur elle et l’enlève dans son bec en redécollant rapidement.
la grenouille de peur a un hoquet et recrache la balle qui retombe sur le parcours .......... rebondit et file vers le trou N°1
. en 1 Coup !!!!
Pierre se fâche et dit à son copain
j'en ai marre Jésus . avec toi c'est toujours la même chose........
C'est José, gay et fier de l'être, qui rentre chez lui à pied à 5h du mat', aprés avoir écumé toutes les boîtes branchées de paris.
Ce soir, il a pas pécho, et comme il l'a mauvaise, il décide de prendre un raccourci pour ête plus vite chez lui.
Il prend les quais de seine, et sous un pont, il voit un clochard qui ronfle, et ça lui donne une idée.
Il s'approche, et le pousse de la pointe du pied.
Pas de réaction. Il le pousse une peu plus fort, pas de réaction. Le clochard ronfle fort, il est profondément endormi.
Alors José regarde à droite, à gauche, ne voit personne à l'horizon, et là il baisse son pantalon, et paf! il encule le clodo.
Aprés avoir fait son affaire, soulagé, il est sur le point de partir, et là, il a des remords. Il se dit c'est pas bien ce que j'ai fait, non, vraiment c'est pas beau.
Honteux, il prend un billet de 20 euros, le glisse dans la poche du clochard, et se tire en courant.
A 10h, Dédé le clodo se réveille la tête dans le cul, et il trouve 20 euros dans sa poche. Il cherche même pas à comprendre, il se lève, il va desuite à la supérette du coin, et il prend 5 cubis de rouge.
A 20h, il les a finis, il est rond comme il faut, et il s'endort sous son pont.
Le lendemain, 5h du mat, José rentre de sa folle nuit, et il est véner car il a pas pécho. Il décide de prendre le même raccourci que la veille, quand il remarque le même clodo sous le même pont, qui ronfle à n'en plus pouvoir.
Il réflechit deux secondes, et se rappelle de hier soir. Il s'approche, le pousse du pied une ou deux fois, puis une fois qu'il est sûr que le clodo dort et qu'il n'y a personne aux alentours, paf! il l'encule.
Au moment de partir, des remords lui viennent: il laisse un billet de 20 dans la poche du clodo, et se barre au pas de course.
A 10h, Dédé le clodo se réveille, la tête dans le cul, et il trouve 20 euros dans sa poche. Il cherche même pas à comprendre, il se lève, il va desuite à la supérette du coin, et il prend 5 cubis de rouge.
A 20h, il les a finis, il est rond comme il faut, et il s'endort sous son pont.
Le lendemain, à 5h, rebelote: José prend le raccourci, encule le clodo, lui met un billet de 20 dans la poche, et se tire en courant.
Dédé se lève à 10h la tête dans le cul, trouve les 20 euros, va prendre ses cubis, et à 20h, il est ivre et s'endort sous son pont.
José commence à prendre ses habitudes, et tous les soirs pendant une semaine, en rentrant de boîte, il passe par les quais de seine et encule le clodo.
Dédé prend aussi l'habitude de trouver 20 euros dans sa poche, et il commence à être connu à la supérette.
Au bout d'une semaine de ce petit manège, un matin, Dédé, la tête dans le cul, se pointe à la supérette. La vendeuse le reconnait, et lui fait "Ah Salut Dédé! Je t'attendais, je t'ai préparé tes 5 cubis de rouge, il sont dans le coin!"
Et la Dédé lui dit : " Putain, hips! donne moi autre chose, hips! Le rouge, je sais pas comment ça se fait, il me fait trop mal au cul!"
Une femme dit à son mari : chéri cette nuit j'ai fait un rêve incroyable. Pendant que nous faisions l'amour, à coté de nous il y avait une homme noir qui nous faisait de l'air en agitant un éventail, et j'ai pris un pied pas possible.
Le couple décide de concrétiser le rêve. Ils trouvent l'homme noir le payent 100€ et le noir accepte de les ventiler pendant leurs ébats amoureux. Malheureusement il ne se passe rien. L'épouse propose donc à son mari d'échanger sa place avec le noir. Le mari prend donc l'éventail et commence à ventiler. Et là en 30 secondes sa femme hurle de plaisir en éprouvant un orgasme aussi foudroyant qu'inespéré.
Le mari tape sur l'épaule du noir et lui crie: ALORS CONNARD T'AS VU COMMENT IL FAUT VENTILER !!!
C'est un Parisien qui va en Périgord pour se ressourcer. Il voit une superbe ferme qui lui tape dans l’œil: c'est le coup de cœur.
Il entre dans la cour et tout content il aperçoit un panneau "a vendre". Il va à la rencontre du fermier et lui demande combien il en veut .
Le fermier annonce un prix (bien trop cher pour notre parisien).
"A ce prix là, vous enlevez au moins toutes les ruches qu'il y'a autour de la maison,parce que les abeilles c'est pas mon truc." demande le Parisien
"Ah non,moué je vous vends la maison après vous vous démerdez" dit le fermier d'un ton bourru
"Ouais mais les abeilles ça m'inspire rien de bon j'ai pas envie que mes enfants se fassent piquer et tout"
"Piquer?Alors là je peux vous certifier que mes abeilles elles piquent pas"
"Attendez je suis Parisien peut être mais je suis pas complètement con,une abeille ça pique je le sais"
"Écoutez,si vous voulez on fait un test je vous laisse attaché toute la journée et toute la nuit,tout nu à un poteau et si vous avez une seule piqure d'abeille je vous fais ma ferme à 1 euro"
La le Parisien est sur de son coup et sent la bonne affaire et accepte. Il passe la journée attaché au poteau sans piqure,rien..la nuit passe il est toujours attaché nu.
Le jour se lève le fermier sort et voit notre Parisien dans un état déplorable... horrible à voir...
"Ben qu'est ce qui s'est passé? Ça peut pas être mes abeilles c'est pas Dieu possible!"
"Ah ça non vos abeilles elles m'ont pas piqué...mais votre veau y'a longtemps qu'il avait pas tété sa mère..."
Une fois décédés, George Bush, Barack Obama et Donald Trump se retrouvent devant Dieu pour être interrogés. Dieu demande à Bush: “En quoi crois-tu”? Bush répond: "Je crois en une libre économie, une Amérique forte. La nation Américaine et tout le tra la la ..." Dieu est impressionné par Bush et lui dit: "Bien, viens t’assoir sur la chaise à ma droite" Dieu va vers Obama et lui demande: "En quoi crois-tu”? Obama répond: “Je crois dans la démocratie, l’aide aux pauvres, la paix mondiale, etc. .... ". Dieu est réellement impressionné par Obama et lui dit: 'Très bien, viens t’asseoir sur la chaise à ma gauche" Finalement Dieu rencontre Trump : “En quoi crois-tu”? Trump répond: "Je crois que tu es assis sur ma chaise”. _________________ jcl2cv